Titre : Journal d'un loser (2012)
Titre VO : Me & Earl & the Dying Girl (2012)
Auteur : Jess Andrews
Nombre de pages : 319
Note : 2/10
Au lycée, Greg est transparent. Il ne fait partie ni des sportifs, ni
des gothiques, ni des intellos, ni des camés, ni des théâtreux, et
encore moins des musicos... Quant aux filles, n'en parlons pas : voilà
une espèce alien dont il vaut mieux éviter de s'approcher. Bref, Greg
vit sa dernière année de lycée comme un soulagement cosmique. Erreur. Sa
mère s'apprête à lui faire vivre un cauchemar en lui ordonnant de tenir
compagnie à une de ses anciennes camarades de classe (moche), Rachel,
atteinte d'une leucémie. Greg et son acolyte Earl, aussi loser que lui,
vont se métamorphoser en héros pour lui redonner le sourire.
Ce que j'en pense :
Au départ, c'est à cause de Naya que j'ai emprunté ce livre.
Même si je sais que nous ne sommes quasiment jamais d'accord sur rien.
Et, comme pour ne pas changer, je ne partage pas du tout son avis, que vous pouvez retrouver là
Ai-je déjà mis une note aussi basse ?
Je crois pas.
Ai-je déjà mis une note aussi basse ?
Je crois pas.
Bon, par quoi je vais commencé ?
Par...
Oh mon dieu oui
LA COUVERTURE.
Honte au type qui à fait la couverture.
A sa place j'aurais vraiment honte.
Le premier mot qui me vient à la fermeture de ce livre est étrange.
Oui, c'est que qui convient le mieux.
Je crois que je me suis jamais autant forcé à finir un livre.
C'était vraiment horrible.
Pourtant on avance vite, surtout parce que l'écriture est assez grosse.
Ce livre est vraiment spécial.
Nul est un peu méchant.
Je dit donc spécial.
Parce que j'ai l'impression que l'auteur fait que nous parler pendant tout le livre.
C'est embrouillé.
L'histoire de Rachelle aurait pu être bien, mais elle n'est pas assez creuser.
Et le reste qui, entre parenthèse est totalement nul, est raconter en long, en large et en travers.
Et, ce qui à beaucoup dérangé les gens dans ce livre, ce sont les gros mots.
Et bien bizarrement, ça ne m'a pas déranger du tout.
Peut être parce que j'ai tellement l'habitude de dire des gros mots que je ça ne me gène pas plus que ça.
Je n'est pas réussis à m’attacher à un personnage.
J'avais l'impression de n'être qu'un simple lecteur.
De juste regarder ce qui ce passe par en haut et puis c'est tout.
Autant dans certain livre je pourrais pas vous dire qui j'ai aimé parce que je les ai tous bien aimé, autant dans ce livre je n'est aimé PERSONNES.
Et c'est vraiment grave.
En me relisant je suis en train de voir que ma chronique est un peu brut de décoffrage.
Mais c'est vraiment ce que je ressent.
Donc franchement.
Perte de temps pour moi.
Je crois que je me suis jamais autant forcé à finir un livre.
C'était vraiment horrible.
Pourtant on avance vite, surtout parce que l'écriture est assez grosse.
Ce livre est vraiment spécial.
Nul est un peu méchant.
Je dit donc spécial.
Parce que j'ai l'impression que l'auteur fait que nous parler pendant tout le livre.
C'est embrouillé.
L'histoire de Rachelle aurait pu être bien, mais elle n'est pas assez creuser.
Et le reste qui, entre parenthèse est totalement nul, est raconter en long, en large et en travers.
Et, ce qui à beaucoup dérangé les gens dans ce livre, ce sont les gros mots.
Et bien bizarrement, ça ne m'a pas déranger du tout.
Peut être parce que j'ai tellement l'habitude de dire des gros mots que je ça ne me gène pas plus que ça.
Je n'est pas réussis à m’attacher à un personnage.
J'avais l'impression de n'être qu'un simple lecteur.
De juste regarder ce qui ce passe par en haut et puis c'est tout.
Autant dans certain livre je pourrais pas vous dire qui j'ai aimé parce que je les ai tous bien aimé, autant dans ce livre je n'est aimé PERSONNES.
Et c'est vraiment grave.
En me relisant je suis en train de voir que ma chronique est un peu brut de décoffrage.
Mais c'est vraiment ce que je ressent.
Donc franchement.
Perte de temps pour moi.
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